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Train de vie

by SCIEUR Z

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1.
Train de vie 04:05
Train de vie… Que tu traînes au hasard Ou bien que tu t’égares Perdu dans le brouillard Des quais de gares Ton train de vie t’emmène Ton train de vie t’entraîne Que tu sois à la traîne Même quand tu t’entraînes Que tu traînes au hasard Du bazar des boulevards Payer pour qu’on se gare Que Dieu « ment : garde ! » Ton train de vie t’emmène Ton train de vie t’entraîne Que tu te promènes Ou même que tu dises : AMEN ! Mais le vent N’emportant Que des plumes Loin devant L’important Reste enclume Mais le vent N’’décrochant Pas la lune Loin devant « Vague ment » : Créant dune Le Wagon reste au rang Au rendez-vous manqué Manqué de peu Si je « mens-tête » à queue L’amant peine l’âme en peine Au milieu de l’arène (l’Art-haine) Surtout quand on s’entraîne A « Bourre la Reine » ! Et la vitesse des filles Défit la grande « vie-test » On lit des « vagues-on-lit » Qu’on mente en tête, en queue « Atout » d’voiture « va-peur » A tout’allure « a leurre » S’y « précipite–amant » Qu’on voit « pas-assez » l’temps… Refr. (« Mais le vent… ») 2X + (Dernière fois :) ...Créant TUNES
2.
Est-il "Christ" ? Si encore Il existe, il existe Sans son corps Est-il triste, est-il triste ? Si encore Il existe, il existe Sans son corps Est-il “Christ”, est-il “Christ” ? Car ça fait : des années, Des années, des années... Des années, des années Des années ? ... R. En est-il désolé, Désolé, désolé... Désolé, désolé Désolé ? ... Si encore Il hésite, il hésite Faut-il fort Qu’il insiste, qu’il insiste ? Si encore Il hésite, il hésite Faut-il fort Qu’il “s’incruste”, qu’il “Saint-Christ” ? R. Bis
3.
Qu'Rock mort ? Aussi barré qu’un Sid BARRETT Pour six barrés, une cigarette Bourrée d’acides ou d’six barrettes…pas très nettes Aussi bourré qu’un Sid VICIOUS Alcoolisé à toutes les sauces Qui flingue « My way » en « ça sert d’os », pathos… Aussi troué qu’un Kurt COBAIN Pour « The Hole » ça s’rait une aubaine « Le poinçonneur » n’a plus de « veines », pas vrai Serge ? Aussi broyé qu’on broie du « NOIR… …DESIR », la peine est sans espoir Brisons les prisons pour « Ivoire », pas d’histoire… Ainsi soit-il et « Let it bleed » La Pop Rock où l’on meurt tranquille ? Refr : Variété aux sons insipides Pas d’danger, toi, qu’on t’assassine ! Aussi sacrifié qu’un LENNON Une fin trop « Bitter Lemon » Chapman en prie les Saints, les Nones… « L’attrape-connes » Aussi brillant qu’un Brian JONES Qui prit du chlore en overdose Aussi vrai que « pierre qui coule n’amasse pas mousse » Aussi moribond qu’MORRISON Qui a dit que le « King Crime sonne » ? Pourquoi lui « sans DOORS » quand Pam’ s’pâme dans les paumes ? Aussi buggé qu’un Jeff BUCKLEY Dans l’ « Miss is Hippy », c’est l’bouquet ! C’est de père en fils, on dirait « sortie lège’ »… Refr : Aussi risqué qu’Jimmy HENDRIX Pas de plaisir sans prise de risques Trop adroit pour un gaucher, pour un gauchiste ! Aussi genious que la Janis JOPLIN, voix comme peu en existent Aussi noire que sa peau fut blanche comme un fix… Aussi scié qu’un SCIEUR Z Qui ne croit plus au « Punk’s not dead ! » Ni au r ‘tour du GRATEFUL DEAD », avec ou sans aides Aussi belle qu’une « Zibeline » est «LED » Tu m’en donneras des nouvelles Si « les dix stars » meurent, cette Zic’ est éternelle !! Refr :
4.
Les oubliés de Nosy Lava. Loin tout là-bas, au loin, si loin tout là-bas… Dans le bagne Malgache de Nosy Lava Pour une peine d’un an, ou parfois même d’un mois Les bagnards oubliés, les bagnards internés Ad vitam æternam, jusqu’en 2000 je crois Mourront les bras en croix…ah ! pourquoi ? Albert Londres, Albert Londres Un frère se retourne dans sa tombe ! Refr.1 : Albert Londres, Albert Londres L’enfer mérite une nouvelle bombe ?... Au nom de quoi, dîtes-moi, au nom de quoi ? Instauré par l’état Français, pays des droits ( ?) Puis l’indépendance day ayant gelé de froid Dans la chaleur du bagne de Nosy Lava Est-ce que tout se lava ? Qui donc se leva ? Faut-il qu’on l’avala ? Si loin tout là-bas… Albert Londres, Albert Londres Ne plus supporter ça une seconde! Refr.2 : Albert Londres, Albert Londres Reviens éclairer l’ombre du monde... Constat dans les média, rien faire dans l’immédiat, Puis mettre tout à plat sans en faire tout un plat… La honte montait en moi en regardant tout ça Voyant ce « show effroi », en frissonner « des fois », Qui leur rendra leur voix et pour qui sonne le glas ? La tête en bas, là-bas à Nosy Lava… Refr.2 (+ « Reviens briller à la « farce » du monde ! ») + Refr.1 (L’enfer mérite une nouvelle…TOMBE !) + Chœurs : « Nosy Lava Nous y voilà… Oui, nous y voilà, A Nosy Lava… »
5.
Si Vivaldi… Ce qui a été Ne dure qu’un été Et ce qui est né n’est déjà plus… …Plus vieux tout l’été D’un ton « morne-automne », Comme un fait divers Nous fait l’hiver… Ainsi va la vie C’est vrai, si Vivaldi, Se plier en quatr’ R.1 : Saisons, c’est r’parti…  « Mai-fait » le printemps Ephémère idée Et fait mes rides et… …Effet mérité ? (solo flûte…) R.1 : A tant repenser A ce temps passé Le temps a passé R.2 : Et m’a dépassé… Assez repensé A tout’ ces pensées, Du temps : pas assez Pour s’y épancher !
6.
Deux vies nettes C’que j’savais bien avant Sur le bout d’mes dix doigts Je “l’ l-avait” , mais dis, toi, Sur le bout de ta langue... Mais j’y allais sûrement Sur la pointe des pieds De peur de n’”pas-r’donner” Ma langue aux “chats, t’y ments” (chattes immenses ?) Je suis qui ? Je suis “qui... ... Qui” est-ce que je suis ? Je le suivais de près Mais là je n’le suis plus Je suis qui ? Je suis “qui ... ...Qui” est-ce que je suis ? (Qui suis-je à votre avis ?) Je le suivais de loin Mais là j’l’ai perdu d’vue... Ah, je (âge) t’en voulais tant Et si mes pieds dansent Monde entier, mon dentier Mes “dents-se” déchaussent Que j’me les suis cassées Les oreilles qui grincent Passant ma rage”dedans” Quand l’arrière-train siffle Quand par terre je “l’avais” Si même il fallait C’est qu’en l’air je l’envoie Me montrer du doigt, Et si je l’avalais “Polie-t’est-ce” vraie C’est que je l’avais là... Que ça n’se fait pas ? R. Bis X2 Est-ce que je suis cuit ? Qui je suis qui, qui ? Est-ce que je suis cuit ? Qui je suis qui, qui ? Est-ce je suis cui-cui ? Dîtes-moi qui je suis... Qui l’eut cru ? Qui je suis qui, qui ? Est-ce que je suis cuit ? Qui je suis qui, qui ? Est-ce que je suis cuit ? Toi, moi “Ris-quiqui”... Est- ce que suis cuit-cuit ? D’être trop cru !
7.
Qu'a la braise... A Santa Maria Del Cedro On ne boit pas seulement du sirop, Tant de soleil "outre-cuit-dans" la peau Lui qui luit bien plus qu'il n'en faut... En buvant des vins divins Comme l'alcool de Cedro, Je revois les géants enfin De Bomarzo, ohohoh... Et si tes raisins ont eu raison de moi Tes raisons Thérèse font, que  t'es raisonnable, Thérèsa ! A santa Maria Del Cedro Faire un tour de piste au vieux château, Comme la tour de Pise prise en photo Je pense penche plus qu'il n'en faut... oh ! En buvant des vins divins Comme l'alcool de Cedro, Je revois les géants enfin De Bomarzo, ohohoh... Et si tes ravins tout en rêvant de moi Tes rêves Thérèse sont-ils "Dérégionables" ? Et si tes lèvres s'enivrent de moi, qui te bois, Trop brèves tes braises, Calabraise en fumée s'exaltent... s'exhalent... s'évadent...
8.
Les Passants 03:25
LES  PASSANTS  Parfois on laisse passer les gens Par négligence « avec le temps… », Croyant leur être indifférent Voyant leur Être différent, Ce n’est que plus tard qu’on comprend Avec le recul, sans l’urgent, Que le manque nous gagne au présent Comme en hiver, au mauvais temps… …car… Faudrait savoir A chaque instant, que nous ne sommes que des « passants » Sans recevoir Donner tout l’temps, pour durer un peu plus longtemps Faudrait pouvoir Si seulement, pouvoir vivre à deux cent pour cent Un peu d’espoir : Médicament, car nous ne sommes que des « patients »… On courre tous après quelque chose Cueillant des fleurs à peine écloses Et quand on voudrait faire une pause On a les épines, pas les roses… Nos jours comme des bulles de savon S’envolent et claquent en trois secondes Marqué fragile même au-dedans La vie se prend avec des gants… …car… Nous ne sommes que des « passants »… Oui, font les cent pas les « passants »… Mais reprend ses droits Évidemment, la vie qui va vers la passion Un peu d’espoir : Médicament, car nous ne sommes que des « patients »… …oui… Faudrait s’asseoir Dès à présent, faire les cent pas, c’est pas sympa, non L’passé passoire Omniprésent, on peut s’en passer « dit en passant » Allez savoir Qu’à chaque instant, nous ne sommes tous que des « passants » C’est provisoire En attendant, quand « l’un-passe », l’autre est « un-patient » ! …ou un passe-temps ?
9.
L'Himalaya : les Mayas là ? Il ne reste Plus rien Que des résidus Vraiment presque Plus rien De leurs cités perdues Le cœur est en lambeaux Encore palpitant et chaud Comme pour être offert aux… Dieux des Mayas là... Mayas ya ya ya Mayas ya ya ya Mayas ya ya ya ya yaie... Au sommet Du Tibet Les Chinois sont venus Ils ont brisé La Paix Qui régnait depuis plus... ... De 6000 ans sur le toit Du monde, et aujourd'hui La pluie traverse ce toit (toi ?) De l'Himalaya Aya ya ya ya Aya ya ya ya Aya ya ya ya ya ya yaie... La pluie traverse le "Moi" Du Dalaï-lama Lama la la la Lama la la la Lama la la malade... Il a mal à la la L'a mal à la la l'a mal à la la à l’Âme...
10.
You cool ailé… Roucoulez, roucoulez Les Ukulélés Trop cool est, trop cool est Vanille Vahiné Roucoulez, roucoulez Les Ukulélés Trop cool est, trop cool est Vivre à Huahiné Pas couler, pour pas couler Faut pagayer Pagayer, faut pagayer Mais c’est pas gai… Roucoulez, roucoulez Les Ukulélés Trop cool est, trop cool est Vanille Vahiné Roucoulez, roucoulez Les Ukulélés Trop cool est, trop cool est Vivre à Huahiné Pagayer, faut pagayer Mais c’est pas gai Rigolez, rigolez Douces « Vanillées »… Pas taper, pas taper Requin « Tapété » Pas péter, faut pas péter A Papeete (répétez…)
11.
Monument Amor (Au monument Amour…) J’ai cherché longtemps Du soleil couchant Au soleil levant, devant, Défilant le temps Déifiant le vent Eole allant de l’avant… Des ombres d’amour Se profilaient pour Ne jamais conclure de toujours Faut-il ce parcours ? Vaut-il le détour ? Pour finir pleurant nuit et jour… Je suis resté longtemps Seul, en attendant Que pour moi tourne le vent Des filles dans le temps Des îles à présent Désirs et alcool aidant… Les ongles trop courts J’en profitais pour Ne jamais conclure de toujours Alors vint mon tour Au je de l’amour De gagner droit à un nouveau tour (nous : vautours ?...) Mais dan le lointain Du soleil coussin Au soleil le vin devint… Défiant le teint Déifiant le vin L’école faisant son chemin… Des leçons d’amour Faut-il tirer pour A jamais conclure LE toujours ? Car sans chant d’amour Même aveugle et sourd On se leurre jusqu’au petit jour, Tour à tour…
12.
Sous les os du fleuve Amour… Tel un chirurgien au chômage Le charme n’opérait plus Et sous les eaux du fleuve hommage Mes vieux os étaient rompus J’enfilerais des mules aux sabots des chevaux Pour que ma Walkyrie N’entende cavalerie Que moi, tête de mule, j’envoie conquérir à son triple galop… (con quérir au triple galop !) Et toi, fleur délicate M’empêchant de t’aimer Très chère, trop chère, dans ma chair, Chaque fois que je rat- -tais, mon foie et ma rate Planifiaient mon cancer… J’t’en prie, laisse couler les anneaux Au fond du fleuve Amour Dans l’lit, même pas défait par défaut Par des flots du fleuve Amour Tant pis, mieux vaut l’amour à fleur de peau Que l’amour en pot de fleur ! Entraîné par les eaux tumultueuses… …tueuses du fleuve Amour J’ai tenté enfin quelque chose En « vin » de lutter toujours… Chérie, tu as tell’ment chargé Qu’il est temps que j’arrête mon char… …rie, tu m’as tell’ment charrié Qu’il est temps que t’arrête ton chariva- -ri, quand les eaux du fleuve avare Charrient mon cœur avarié…
13.
La toile d'Art est née... J'ai des cigales dans la tête Ça me régale cette image Mais une mygale m'embête Ça m'est égal j' déménage J'ai des envies d' faire la fête Les amygdales qui s'emballent Mais une mygale m' répète : « T'as plus que dalle pour 100 balles ! » J'ai des cigares plein la tête Un poil des trous dans l' cigare Mais une mygale s'entête (sans tête) A faire sa toile : viens y voir J'ai des envols dans la tête Des « amirals » qui se poilent Mais une mygale s'inquiète Sans faire de malles : j' mets les voiles... J' fais des plans sur la comète J' prends mon panard dans la marge (la marge au panards !!) Mais une mygale tempête Elle « se-ra-pâle » (sera pas, se rappelle) du voyage...
14.
Pendu au noyer... Tandis que flottent les branches mortes du noyer Que l'arbre du pendu perdu s'est déraciné, La mandragore arbore déjà sa forme de lutin L'amante d'abord adorée se forme en putain. Tandis que flottent les branches mortes du noyer Enfouie sous les flots, la blanche morte dévoyée N'a pas encore alors tout compris de son destin Aux aurores Aurore pensait trouver son chemin. Tandis que frotte la blanche corde déployée Que l'arbre trop tendu, imbus, « cédé race innée » Semence immense répandue en graines de lupins Sentence intense du pendu s'égraine en chagrin. Tandis que frotte la blanche corde déployée S'enfuit sous les faux-fuyants l'amour inconsolé Sous l'une et l'autre oubliée, bien qu'on prie s'sont rejoints (Sous lune et l'eau trouble y est bien comprise...) Aux aurores l'horreur dansait au bout du chemin...
15.
Sex' que tu veux... Mille excuses aux Mexicanos d’une Maxi connasse Mille blessures au Mexique años ont laissé des traces Chaude Lapine en myxomatose Touches un peu si t’oses ! Tu t’abîmes au Mezcal-Eros (Héros ?) et t’y mets la dose ! Si t’as le feu aux joues, joujou, Quand tu joues avec le feu, SIDA...venture tu nous la joues Va jouer en enfer Puisque c’est c’que tu veux, Sexe que tu veux... Si je m’en vais, ne m’en veux pas non ne m’en vais pas Si je m’avoue, ne m’envoûte pas non n’en rajoutes pas... Si je bave où il m’en coûtera non ne ment : fais pas ! Si...d’ha-bitude en fin tu m’as Là, je dis non cette fois : (non, non, non, non, non, non, non !) Si t’as le feu aux joues, joujou, Quand tu joues avec le feu, SIDA...vent-dur tu nous l’avoues Va jouir en enfer Puisque c’est c’que tu veux D’avoir fesses’que tu veux ! Si t’as le feu aux joues, joujou, Quand tu joues avec le feu, SIDA...d’venture tu nous l’ajout’ Va rougir en enfer Puisque c’est c’que tu vaux, Puisque c’est c’que tu veux... Sexe que tu veux...
16.
Trous de mémoire Parfois reviennent A ma mémoire Des jours de peine Dans le trou noir En entonnoir En manteau noir… Et c’est sans peine Qu’apercevoir Les lourdes chaînes Du désespoir Les fait pleuvoir L’effet peut voir : L’ombre si terne D’une grille fermée Porte en elle-même L’espoir de liberté Fiers chemins de traverse… Traverses de chemins de fer Voies qui me traverseraient Comme seule celle de Léo Ferré (ferait) Où donc s’achève La vraie réalité ? Quand les ombres même En « nombre » nous mènent Longues semaines D’une vie volée Sombre poème D’une rime voilée L’ombre si reine D’une grille fermée Porte en elle-même Espoir de liberté Fiers chemins de traverse… Traverses de chemins de fer Voies qui me traverseraient Comme aussi celle d’un « Niño » Ferrer (ferait) Ne me retiennent Ni les grands soirs Les jours de veine Jeux de hasard Colin Maillard Trous de mémoire Oui, qu’en vain reviennent Tous les grands soirs Valses de Vienne Deviennent trop rares De « vie-haine » trop tard Trous de mém... Trous de… Trous… Tr… (« …’a y’est, j’commence à dérailler… »)
17.
A deux mains 03:34
A deux mains… Qui pourra dire que sera demain ? Quel sera l’avenir qui coule entre nos mains ? Qui pourra me dire ce que sera demain ? Qui saura définir quel sera le chemin ? Qui saura lire dans le creux des mains ? Nous attendra le pire en forçant le destin ? Qui saura lire dans le creux de nos mains ? La force d’un sourire balayera le chagrin ? Qui pourra rire demain pour un rien ? Eviter de mourir en se rongeant les mains Qui pourra maudire ce que sera demain ? Parler sans réfléchir sera du genre humain ? (au moins…) Savoir mentir dans les yeux des gamins Vendre pour un empire le forçat clandestin Qui peut guérir la lèpre de nos mains ? Le souffle d’un soupir « bégayera » le….(…le…le…le…le…) cha…(…cha…cha…cha…cha…) grin…(…grin…grin…grin…grin…) Comment franchir les « maux » du parchemin ? Dès demain reconstruire, reconstruire des deux mains Et réécrire sa vie au quotidien S’il faut bien en finir… Serait-ce déjà la fin ??...
18.
Pays de cocagne Des coups, j’en ai pris beaucoup Du coup, me direz-vous j’suis plus… dans l’coup Dégoûté de tout, Des goûts et des couleurs Discutons coup par coup Repartir au pays de cocagne Et puis se dire qu’à tous les coups l’on gagne Repartir au pays de cocagne Des petits riens ne plus faire une montagne Des sous, j’en ai plus beaucoup Là-dessus, me direz-vous, j’suis plus…qu’en dessous Désolé de tout, déboussolé, déçu Sans dessus dessous… Repartir au pays de cocagne Et puis se dire qu’à tous les coups l’on gagne Repartir au pays de cocagne Des petits riens ne plus faire une montagne Une oasis dort au milieu du désert Aux valeurs sûres, je préfère les sucrées Mais, ne monte pas au mat de cocaïne Au « brown sugar », mieux vaut le sucre de canne Repartir au pays de cocagne Poudre d’escampette et non celle qui calme Repartir au pays de cocagne Des petits riens ne plus faire une montagne…
19.
De la voie des morts De la voie des morts (A Téotihuacàn) J’entends la voix (La voix des morts) De la voie des morts (Près de Ténochtitlàn) Comme un murmure Commence d’abord Formant encore (Comme un accord) Serait-ce l’harmonie du remède ou du remord ? L’incantation (lamentation) De cette longue procession L’invocation (évocation) Sans repos me pose mille questions : De la terre au ciel (de la lune au soleil) Pourquoi vouloir relier l’éphémère à l’éternel ? Sous la pyramide du soleil Dort la pire abîme sans pareil, Cette grotte cachée, souterraine, Rejoindrait-elle les sept originelles ? Sur la pyramide de la lune L’énorme statue disparue, s’est-elle envolée pour la lune ? De la voie des morts (A Téotihuacàn) J’entends la voix (La voix des morts) De la voie des morts (Près de Ténochtitlàn) Le doux murmure se transforme Des mots résonnent (de plus en plus fort) Le sage message des indiens prend forme alors : « -Si cruels étaient nos sacrifices Plus dur est notre génocide Pourquoi détruire nos édifices Briser nos vies, brûler nos livres magiques ? »

about

With this concept-album (19 songs Pop/Rock/electro/Trip Hop...), SCIEUR Z invites us to follow him in his travels to «see/saw/six» corners of the world, often lived or sometimes imagined, through a railway universe that cradled his entire childhood…
Yarn of railwayman from Tergnier (Aisne), this small town, long considered one of the most important railway yard in France, would it not have inspired her favourite instrument, the musical saw? Unconscious influence of this "railway nest"?
Indeed, the singing of the saw, would it not remind a little of the plaintive cry of trains at night in the distance on the rails?
The “TRAIN DE VIE” project was born…
Journey of a life in acceleration, with stops in unexpected stations where each title becomes a sound adventure…but also visual, with a booklet 12 pages fully illustrated by the author (surreal comic book atmosphere), where the "Passenger Z" shows us his landscapes seen from the train…
To complete this project, “Les Soleils Bleus Éditions” released a book entitled “Train de vie/Incarné de voyages” : www.lessoleilsbleus.com/livres/train-vie
And it was the author Vincent RAVALEC, who gave us the honour of writing the foreword !
This "parallel tracks" exit may confirm that: :
“-One train can hide another!”…

Avec ce concept-album (19 titres chanson/Pop/Rock/électro/Trip Hop...), SCIEUR Z nous invite à le suivre dans ses voyages aux « scies » coins du monde, souvent vécus ou parfois imaginaires, à travers un univers ferroviaire qui a bercé toute son enfance…
Fils de cheminot originaire de Tergnier (Aisne), cette petite ville, longtemps considérée comme l’une des plus importante gare de triage de France, ne lui aurait-elle pas inspiré son instrument de prédilection qu’est la scie musicale ? Influence inconsciente de ce « nid ferroviaire » ?
En effet, le chant de la scie, ne rappellerait-il pas un peu le cri plaintif des trains la nuit au lointain sur les rails ?
Le projet «TRAIN DE VIE » était né…
Parcours d’une vie en accéléré, avec escales dans des stations inattendues où chaque titre devient une aventure sonore…mais aussi visuelle, avec un livret 12 pages entièrement illustré par l'auteur (ambiance BD surréaliste), où le "Voyageur Z" nous fait découvrir ses paysages vus du train…
Pour compléter ce projet, « Les Soleils Bleus Éditions » ont sorti un Livre-recueil intitulé « Train de vie/Incarné de voyages » :
www.lessoleilsbleus.com/livres/train-vie
Et c’est l'écrivain Vincent RAVALEC, qui nous a fait l’honneur d’en écrire la préface !
Cette sortie en « voies parallèles » venant peut-être confirmer que :
«-Un train peut en cacher un autre !! »…

credits

released January 25, 2013

Renaud Lacoche (aka SCIEUR Z) : music, texts, arrangements, voice and backing vocals, musical saw, Guitar-Cello, guitars, bass, percussion, ukulele, programming, sound, directing and mixing, visual illustrations and graphics...
Lou-Mary : voice intro + end ads
Philippe Groulard : backing vocals, guitars, percussion, arrangements
Philippe Parisot : jacket's illustration recto verso (with Renaud Lacoche).

Renaud Lacoche (alias SCIEUR Z) : musique, textes, arrangements, chant, chœurs, scie musicale, Guitare-Cello, guitares, basse, percus, ukulélé, programmation, bruitages, réalisation et mixages, illustrations visuelles et graphisme...
Lou-Mary : voix annonces intro + fin
Philippe Groulard : choeurs, guitares, percus, arrangements
Philippe Parisot : illustration jaquette recto verso (avec Renaud Lacoche)

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SCIEUR Z France

Artiste quasi inclassable à l'univers poétique très personnel. Ce chanteur multi-instrumentiste et expérimentateur à tout crin, est le 1er A.C.I. à avoir introduit la scie musicale au sein de la Pop Rock ("Rock Scie Music"). Il crée aussi un nouvel instrument appelé Guitare-Cello (son entre guit. électr. et viole de gambe), venant compléter les sonorités étranges de la Scie électrifiée... ... more

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